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Un sursis temporaire est émis pour les Pitbulls de Montréal

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Un sursis temporaire est émis pour les Pitbulls de Montréal
Un sursis temporaire est émis pour les Pitbulls de Montréal

Olivia Hoover | Éditeur | E-mail

Vidéo: Un sursis temporaire est émis pour les Pitbulls de Montréal

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Anonim

Photos par: Earthpassage / Bigstock

Un juge de la Cour supérieure a simplement accordé un sursis temporaire à la loi controversée les interdisant à Montréal, mais a besoin de permanence pour les protéger.

Une loi controversée interdisant la race pit-bull (ainsi que le type pit-bull) était essentiellement une condamnation à mort pour des milliers de chiens et a été contestée par la SPCA de Montréal. Le jour même de l'entrée en vigueur de la loi, le juge montréalais Louis Gouin a suspendu l'interdiction afin de permettre aux tribunaux d'entendre la contestation de la SPCA. Demain, le juge Gouin décidera d'étendre ou non sa décision à une période plus longue, en permettant que davantage de travail de sauvetage soit effectué et que des groupes de défense des animaux rassemblent ce dont ils ont besoin pour prouver que cette loi est discriminatoire et injustifiée.

Cela signifie qu’entre-temps, des fosses et des chiens de type pit-bull peuvent être adoptés et qu’ils n’ont pas à être muselés, comme le prescrit la législation du conseil. Les organisations locales et internationales de secours et de protection des animaux travaillent fébrilement pour débarrasser les abris de tout chien susceptible de correspondre à la dénomination de «chien dangereux» afin de ne pas avoir d'euthanasie massive comme le prévoit la législation.

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Les parents d'animaux de compagnie Pit Bull se sentent persécutés et punis, craignant que leurs chiens ne puissent vivre libres et heureux dans leur propre cour. Ils pensent que les définitions des chiens dangereux sont vagues et dangereuses pour de nombreux chiens, même avec de l'ADN. En conséquence, beaucoup ne font qu'adopter des muselières et enregistrer leurs chiens entre-temps afin de respecter les directives, si elles restent applicables.

Une autre préoccupation est que même le procureur de la ville, René Cadieux, ne dispose pas de normes juridiques définitives selon lesquelles la ville évaluerait si un chien était un type pit-bull ou pit-bull, en disant plutôt que le bon sens serait ce qui sera utilisé appliquer les termes de la législation, et que les critères utilisés seraient de savoir si un chien ressemblait, agissait ou ressemblait à un type pit-bull ou pit-bull. Cela est extrêmement préoccupant en ce sens que le chien accusé d’avoir tué une femme au début de l’année était initialement considéré comme un pit-bull, bien que les papiers d’inscription l’indiquaient comme un boxeur et que les résultats ADN n’étaient pas conclu.

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Le conseiller de l'opposition, Sterling Downey, le qualifiant de «politique de panique», est en désaccord avec la législation générale et il est en désaccord avec le maire Denis Coderre qui a appuyé et soutient toujours le projet de loi.

Et ainsi, le monde regarde et attend de voir ce qui va se passer… en espérant que la justice et le bon sens prévaudront et que les chiens innocents ne seront plus pénalisés.

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